Récemment, la scène politique américaine a de nouveau suscité des préoccupations. Trump a annoncé la nomination de Stephen Moore, président du Conseil des conseillers économiques de la Maison Blanche, au poste de Le Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale, une démarche qui pourrait avoir un impact important sur l'orientation de la politique monétaire américaine.
Milan remplacera le reste du mandat d'Adrianna Kugler, qui se termine en janvier prochain. Trump a déclaré sur les réseaux sociaux que Milan travaillait à ses côtés depuis le début de son deuxième mandat, possédant d'excellentes connaissances en économie, et il est convaincu qu'il s'acquittera brillamment de ses nouvelles responsabilités.
En tant que docteur en économie de l'Université de Harvard, Milan a toujours soutenu les revendications de baisse des taux d'intérêt de Trump. Bien qu'il soit connu pour son style de langage prudent, il reste l'un des critiques de la politique de la Réserve fédérale (FED). Certaines des propositions de réforme des banques centrales qu'il a formulées sont même considérées par certains comme non conventionnelles.
La réaction du marché à cette nomination est mitigée. Joe Gilbert, gestionnaire de portefeuille chez Integrity Asset Management, estime que cette décision, bien que surprenante, est conforme aux attentes du marché. Il souligne que Milan pourrait devenir une autre voix importante en faveur de la politique monétaire accommodante, ce qui pourrait renforcer les attentes du marché concernant une baisse des taux d'intérêt par la Réserve fédérale (FED) cette année.
Cependant, David Beckworth, chercheur senior au Mercatus Center de l'Université George Mason, adopte une attitude prudente. Il souligne que, en tant que membre du comité de neuf personnes, l'influence de Milan sur la promotion de réformes structurelles ou sur la facilitation d'une forte baisse des taux d'intérêt pourrait être limitée, surtout compte tenu du fait qu'il ne lui reste que quelques mois de mandat.
Il convient de noter que, bien que la croissance économique américaine ralentisse, la Réserve fédérale (FED) maintient les taux d'intérêt inchangés cette année. Cela est en partie dû aux inquiétudes concernant une nouvelle augmentation de l'inflation. Cependant, lors d'une interview, Milan a déclaré qu'il n'avait pas encore vu de preuves évidentes que la politique tarifaire de Trump exerce une pression sur les prix au niveau macroéconomique. Il pense que même si les tarifs provoquent une inflation, cela pourrait n'être qu'une fluctuation ponctuelle des niveaux de prix, peu susceptible de créer une tendance durable.
Il reste à observer si cette nomination aura un impact substantiel sur les décisions de La Réserve fédérale (FED) et quelle sera l'orientation future de la politique monétaire américaine.
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StakeTillRetire
· 08-08 01:48
Une nouvelle baisse des taux d'intérêt est encore en train de dessiner des promesses.
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BTCBeliefStation
· 08-08 01:36
Chuanbao va-t-il encore frapper fort ? J'en peux plus d'attendre la hausse des taux.
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FrogInTheWell
· 08-08 01:34
C'est encore un bon moment pour acheter de l'or.
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Whale_Whisperer
· 08-08 01:33
On veut encore stimuler le PIB par une baisse des taux d'intérêt, n'est-ce pas ?
Récemment, la scène politique américaine a de nouveau suscité des préoccupations. Trump a annoncé la nomination de Stephen Moore, président du Conseil des conseillers économiques de la Maison Blanche, au poste de Le Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale, une démarche qui pourrait avoir un impact important sur l'orientation de la politique monétaire américaine.
Milan remplacera le reste du mandat d'Adrianna Kugler, qui se termine en janvier prochain. Trump a déclaré sur les réseaux sociaux que Milan travaillait à ses côtés depuis le début de son deuxième mandat, possédant d'excellentes connaissances en économie, et il est convaincu qu'il s'acquittera brillamment de ses nouvelles responsabilités.
En tant que docteur en économie de l'Université de Harvard, Milan a toujours soutenu les revendications de baisse des taux d'intérêt de Trump. Bien qu'il soit connu pour son style de langage prudent, il reste l'un des critiques de la politique de la Réserve fédérale (FED). Certaines des propositions de réforme des banques centrales qu'il a formulées sont même considérées par certains comme non conventionnelles.
La réaction du marché à cette nomination est mitigée. Joe Gilbert, gestionnaire de portefeuille chez Integrity Asset Management, estime que cette décision, bien que surprenante, est conforme aux attentes du marché. Il souligne que Milan pourrait devenir une autre voix importante en faveur de la politique monétaire accommodante, ce qui pourrait renforcer les attentes du marché concernant une baisse des taux d'intérêt par la Réserve fédérale (FED) cette année.
Cependant, David Beckworth, chercheur senior au Mercatus Center de l'Université George Mason, adopte une attitude prudente. Il souligne que, en tant que membre du comité de neuf personnes, l'influence de Milan sur la promotion de réformes structurelles ou sur la facilitation d'une forte baisse des taux d'intérêt pourrait être limitée, surtout compte tenu du fait qu'il ne lui reste que quelques mois de mandat.
Il convient de noter que, bien que la croissance économique américaine ralentisse, la Réserve fédérale (FED) maintient les taux d'intérêt inchangés cette année. Cela est en partie dû aux inquiétudes concernant une nouvelle augmentation de l'inflation. Cependant, lors d'une interview, Milan a déclaré qu'il n'avait pas encore vu de preuves évidentes que la politique tarifaire de Trump exerce une pression sur les prix au niveau macroéconomique. Il pense que même si les tarifs provoquent une inflation, cela pourrait n'être qu'une fluctuation ponctuelle des niveaux de prix, peu susceptible de créer une tendance durable.
Il reste à observer si cette nomination aura un impact substantiel sur les décisions de La Réserve fédérale (FED) et quelle sera l'orientation future de la politique monétaire américaine.